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L'auteur de « Viens Cécilia, partons » nous entraîne dans une partie de la vie d'une fratrie (Nanou 13 ans, son frère 12 ans, Cécilia 4 ans), dans les années 50.
Entre « ceux-de-la-terre » et « ceux-des-villes » peut-on choisir lorsque, enfant, on appartient à ces deux familles, ces deux Mondes qui ne se comprennent pas et se méprisent ?
A douze ans, le coeur gros, j'ai refusé de reprendre la dernière ferme de Solignac, comme Pierou, mon père, qui avait quitté la terre pour toujours.
« Ceux-des-villes » ont réussi à empêcher mon père de reprendre sa fille Cécilia à celle qui la lui volait. Ma mère laissait faire.
Enfant, aidé de ma soeur aînée, j'inventais un stratagème pour obliger mon père à partir dans une autre ville en nous emmenant avec Cécilia notre petite soeur.
La ramener dans notre famille ! Si j'échouais ce serait parce que Dieu n'était pas de mon côté, mais je ne craignais pas celui que personne n'avait jamais vu.
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