Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
L'auteur de « Viens Cécilia, partons » nous entraîne dans une partie de la vie d'une fratrie (Nanou 13 ans, son frère 12 ans, Cécilia 4 ans), dans les années 50.
Entre « ceux-de-la-terre » et « ceux-des-villes » peut-on choisir lorsque, enfant, on appartient à ces deux familles, ces deux Mondes qui ne se comprennent pas et se méprisent ?
A douze ans, le coeur gros, j'ai refusé de reprendre la dernière ferme de Solignac, comme Pierou, mon père, qui avait quitté la terre pour toujours.
« Ceux-des-villes » ont réussi à empêcher mon père de reprendre sa fille Cécilia à celle qui la lui volait. Ma mère laissait faire.
Enfant, aidé de ma soeur aînée, j'inventais un stratagème pour obliger mon père à partir dans une autre ville en nous emmenant avec Cécilia notre petite soeur.
La ramener dans notre famille ! Si j'échouais ce serait parce que Dieu n'était pas de mon côté, mais je ne craignais pas celui que personne n'avait jamais vu.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !