80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Dès les premières lignes, on est pris par une terrifiante angoisse. Très vite, les larmes arrivent, sans qu'on puisse dominer l'émotion. Ce sont les mots qu'on aurait voulu écrire. On n'arrive pas à prendre de la hauteur comme on le fait d'habitude. Chaque phrase fait trembler en nous un souvenir, un rêve ancien, un cauchemar oublié. On a envie de crier pour que ça cesse. Mais on s'enfonce toujours plus loin, au profond de l'autre qui est aussi nous. Peur et désir mêlés d'un ailleurs à l'insoutenable beauté. Et lorsque les mots s'arrêtent, qu'ils nous abandonnent sur la berge, on reste démuni, orphelin, quelque part déjà absent du monde. » Danielle Restoin
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année