80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il s'appelait Darius Conn. Il avait du talent, des idées, de la ressource. C'était un amateur doué. Il tuait à l'économie, parce que c'était nécessaire, sans plaisir, mais non sans orgueil. Il se disait que ses crimes passeraient à la postérité. Des crimes parfaits. Il se gobait.Il se gobait un peu trop. Parce que, en fin de compte, ce n'était qu'un amateur et ça ne pouvait pas durer.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année