Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Les villes et les villages de la Gaule romaine et des régions voisines se situaient presque toujours au contact ou dans la proximité de l'eau : rivière, fleuve, étang ou lac, plus rarement bordure de mer, et cette situation semble avoir déjà existé antérieurement. Les résidences campagnardes et les établissements agricoles qu'on appelait des villas recherchaient également le voisinage de l'eau.
Les articles réunis dans ce volume cherchent à analyser les motifs de cette attirance. Ils étudient aussi les conséquences de tels choix, conduisant à implanter les agglomérations sur des terrasses alluviales ou sur des flancs de vallée, ce qui comportait des aspects positifs, mais créait aussi des difficultés, et a nécessité notamment la réalisation fréquente de remblais et de soutènements.
Plusieurs contributions examinent également l'influence de la proximité des cours d'eau sur les tracés directeurs cadastraux et urbains, sur la disposition des espaces et des bâtiments, ainsi que sur les activités humaines, sur les mémoires et sur les esprits.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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