80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En arpentant les littératures de Suisse dans leur diversité remarquable, c'est le particulier qui nous intéresse, l'irréductible, l'individuel. Ce qui, lorsqu'il se fait langue, lorsqu'il se fait livre, distingue l'écrivain, devient style, parcours. Et nous interroge alors à notre tour. Les auteurs présentés dans ce troisième numéro de Viceversa, revue suisse d'échanges littéraires, reflètent de façon manifeste cette liberté, cette singularité des cheminements : Jürg Laederach traduit en écrivant ou écrit en traduisant ; Eveline Hasler cherche dans ses romans le point de jonction entre histoire et psychologie ; Jürg Schubiger interpelle les adultes en écrivant pour les enfants ; Rafik ben Salah invente un français mêlé de sons, de tournures, de personnages et de paysages sortis de sa Tunisie natale ou du sac à histoires oriental, mais se promet dorénavant d'être un auteur suisse jusque dans ses sujets. Tim Krohn se présente comme un auteur post-moderne, artisan d'un mariage inédit entre la langue de Goethe et le dialecte glaronnais...
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