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« Elle mentait aux journalistes. Le département publicité de la Paramount s'en était vite aperçu. Ça avait commencé par des détails, parce que ça commence toujours ainsi. Elle mentait sur sa couleur préférée : rouge, répondait-elle à l'un, violet, à un autre. Enfin, ils réalisèrent qu'elle se faisait passer pour ce qu'elle n'était pas. Elle disait que sa famille était aristocrate, que ses ancêtres étaient anglais, qu'elle avait vécu en Suisse, qu'elle était née dans une rivière... » Quel secret cache Nicole Smith dite Nikkie dite Veronica, star de l'âge d'or hollywoodien ? Pourquoi semble-t-elle fuir sa mère, les hommes, jusqu'à ses enfants ? Et que révèlent ses mémoires inquiétants, retrouvés près de son corps sans vie ?
Cinquante ans après la disparition de Veronica, une journaliste française se penche sur cette affaire irrésolue, comme une photographie ou une séquence légendaire en fourreau noir. Mais ce Los Angeles de cinéma ne livre pas facilement ses secrets.
Nelly Kaprièlian nous offre une plongée fascinante dans le destin d'une star oubliée, victime de sa mère, de ses mauvais amis, du Moloch cinéma, cruelle aussi.
Ils ne sont (heureusement) pas nombreux dans ce cas-là, mais Veronica rejoint la triste liste des quelques livres que je n'arrive pas, et que je n'ai pas envie de terminer.
On m'a offert ce livre, connaissant mon amour profond pour les récits imbriqués les uns dans les autres, les personnages qui se croisent et se chamaillent d'une époque à une autre, les phrases interminables mais dégagées de toute lourdeur, les mots compliqués pour lesquels on se plaît à inventer un sens.
Ici, dans Veronica, rien ne va selon moi. Le récit est beaucoup, beaucoup trop complexe, et ne laisse aucune place à l'imagination ou l'interprétation du lecteur. Manquez une ligne, et vous perdez complètement le fil du récit. Posez-vous une question, la réponse ne vous viendra jamais. Cherchez un sens aux mots crus et aux drames que j'appellerais "gratuits", il n'y en a pas. Me creuser les méninges, réfléchir sur un livre, me casser la tête : aucun souci, quand derrière, il y a un vrai sens. Ici, je m'ennuie, je baille, je décroche, bref, je ferme ce livre pour de bon, sans véritable envie de lui donner une seconde chance.
Au final, je n'ai pas dépassé les 100 pages avant d'abandonner et d'ajouter ce livre à ma propre pile de romans à offrir, mais celui-ci, je m'en débarrasse bien plus que je ne le recommande.
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