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Dans La Nouvelle Revue française, grâce à Marcel Arland et Jean Paulhan. Son premier recueil, Le Champ de mai, paraît en 1955 dans la collection "Métamorphoses", dirigée par Jean Paulhan. Il reçoit pour celui-ci le Prix Felix Fénéon, comme il recevra en 1958 le Prix Max Jacob pour Solitude de la lumière.
En 1961, Jean Paulhan lui ménage par surprise une rencontre avec Saint-John Perse, qui lui donne les plus grands espoirs poétiques. Il travaille auprès de Claude Tchou, éditeur chinois de livres libertins, et sur les indications de Pascal Pia, qui le fait profiter de sa connaissance de l'Enfer de la Bibliothèque nationale. Chez Claude Tchou il édite, avec Jean-Claude Zylberstein, la première édition des oeuvres complètes de Jean Paulhan, avant celle qui paraît aujourd'hui chez Gallimard en collection Blanche, sous la direction de Bernard Baillaud.
Grâce à Denis Roche, il entre au comité de lecture des éditions du Seuil, où il siègera jusqu'en 1995. Une certaine "consécration" lui vient avec la publication de Paysage du Tout dans la collection " Poésie " chez Gallimard, volume anthologique précédé d'une élogieuse préface d'Henri Mitterand. Attentif à l'expression de la plénitude, il ne cesse de corriger ses textes, comme si la variation était l'essentiel de son art poétique.
Avec Pratique de l'éloge Gallimard, 2009, il dit, à travers de brefs textes en prose, "ce qu'il doit, et à qui". Utinam Varietur rassemble plusieurs séries de textes en prose. Une vingtaine de "petites pages hors du tiroir" hommages qui viennent compléter ceux déjà publiés dans Pratique de l'éloge L'ensemble est précédé de deux ensembles de notes : les aphorismes de Dans un vide non plus médian semblant répondre délicatement à la reprise de ces "paragraphes abandonnés " qui les précèdent.
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