80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Brillant homme d'affaires de San Francisco, Thomas Eckelton ouvre les yeux ce matin-là sur un véritable cauchemar : il est au coeur d'El Paraíso, le tentaculaire bidonville de Bogotá, une des villes les plus dangereuses du monde.
Il n'a ni papiers d'identité ni argent.
Il est seul, dans un univers ultraviolent. Comble de l'horreur, il découvre qu'il a changé de visage !
Pourquoi l'a-t-on abandonné dans la métropole de tous les dangers ? Comment revenir dans la société lorsqu'on a perdu son identité ? Comment lutter contre ceux qui, dans l'ombre, ont tout fait pour vous détruire ?
Je dois avouer que j'ai eu quelques lacunes à accrocher dans la première partie de ce roman. Un personnage enlevé à sa vie de riche businessman, envoyé dans un pays complétement différent, sans rien, c'est assez... commun. Et malgré son changement de visage, rien ne me faisait penser que la suite allait être bien meilleure. D'ailleurs, j'avais deviné dés le début comment s'était déroulé son changement de visage, mais heureusement mon don de devin s'arrête là.
Dés la deuxième partie du roman, l'histoire est menée tambour battant et il est difficile de s'arrêter pour ne pas en savoir plus. Malgré la déception de la première partie, le roman prend de l'ampleur et on a même tendance à accélérer le rythme de la lecture pour connaître le pourquoi du comment.
Je regrette que les personnage secondaires ne soient pas plus attachants parce que j'aurais bien aimé m'imprégner encore plus de l'intimité de certains agents du FBI. Les scènes et les décors sont bien décrits et sans fioritures, l'accent étant constamment mis sur le personnage principal.
En somme, j'ai trouvé ce roman assez bon, mais dommage que la première partie et certains détails comme les personnages m'aient déçu.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année