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L'expérience bordelaise Alors que les investisseurs parisiens se précipitent à Bordeaux dans la perspective de l'arrivée, début juillet 2017, de la ligne à grande vitesse qui mettra Paris à deux heures de la capitale girondine, ce numéro hors-série s'intéresse aux nouvelles mobilités métropolitaines bordelaises. Bordeaux a été le théâtre d'une démarche très originale, pilotée par l'agence d'urbanisme Bordeaux métropole Aquitaine, initiée il y a cinq ans et qui a pris la forme d'un Grenelle des mobilités durant le premier semestre 2012, mobilisant une grande diversité d'acteurs pour réfléchir à un nouveau modèle de mobilité. Comme l'explique Alain Juppé, le président de la Métropole de Bordeaux, « il y a un vrai changement de paradigme », en particulier dans le rapport à l'automobile. Au-delà d'une bonne gouvernance, encore faut-il de bons projets. C'est ce à quoi s'est attaqué l'a-urba en formulant un ensemble de propositions pour les voiries du xxie siècle, en particulier pour la rocade, cet étonnant objet métropolitain. L'agence lui consacre une remarquable exposition - prolongée jusqu'au 31 mars 2017 - qui fait mesurer l'ampleur du défi à relever. Mais le devoir d'invention, évoqué par Véronique Ferreira, est pris à coeur par l'a-urba qui avance des idées pour les « rives » comme pour le « tube autoroutier » de la rocade, mais aussi pour les Grandes allées métropolitaines et les boulevards bordelais. L'enjeu est également celui de la mutation de l'espace public, pour mettre enfin le piéton au centre du système de mobilité. À partir de l'expérience bordelaise, mise en perspective par les réflexions plus globales de plusieurs des meilleurs experts de la question, ce numéro réalisé en partenariat avec l'a-urba entend contribuer par ses analyses et ses propositions au nécessaire débat sur les nouveaux espaces des mobilités métropolitaines.
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