80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Dans la rue, ma robe syrienne, le style de mes sandales noires attirent les regards. Lors de mon premier voyage, mes lanières multicolores avaient été pointées du doigt par des adolescentes gloussant de rire, ici l'utilisation du cuir est plutôt rare, l'originalité exclue. De même qu'en Ouzbékistan, les rues sont sillonnées par des chaussures de formes classiques, uniformément noires ou beiges, alors que les devantures de certains quartiers offrent différentes couleurs, à défaut d'autres modèles. Dans un ciel qui vire à l'indigo, apparaît la croix d'une chapelle. Je cherche l'immeuble qui en dissimule l'entrée ou un passage, mais on se retourne sur moi, demain peut-être... » Téhéran, Mashhad, Tûs, Yazd, Meybôd, Ispahan... L'appel de l'ailleurs était trop tentant : l'été 2005, Lorraine Pobel s'envole seule pour la troisième fois pour l'Iran. Son témoignage ne se veut ni politique ni religieux, mais la chronique d'une découverte, une approche plurielle, comme en occasionne tout séjour dans une société donnée. Coutumes, architecture, arts, vie quotidienne... c'est une part de la culture iranienne que ce carnet de voyage nous invite à découvrir, au-delà des idées reçues.
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