80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Une très vieille dame, Geneviève Briand-Lemercier ? C'est ce que l'état civil indique : quatre-vingt-onze ans. Mais en même temps une toute petite fille. Elle ne résiste à aucune tentation et se trouve réduite, chaque fin de mois, à vendre chez Gibert quelques-uns de ses livres. Et elle suit toujours à la lettre la consigne, donnée par son père il y a trois quarts de siècle, d'écrire chaque jour quelques lignes de son journal. Cependant, l'angoisse la point : Madame Bertrand, la prestigieuse professeure de graphologie et d'astrologie transcendantales, dont elle paie à prix d'or les leçons, lui donne la consigne de ne plus écrire, et même de " désécrire ". C'est que le poids de ses écrits est un obstacle à sa longévité. L'Immortalité ? Elle ne pourra l'atteindre qu'à condition de se défaire de tous ses vieux cahiers. La vieille dame entreprend dans la douleur son travail de " désécriture ". Mais peu à peu elle s'interroge : ne serait-il pas plus commode de tuer les êtres plutôt que les lettres ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année