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Bernard Frank est à la fois un des écrivains et journalistes les plus connus de l'après-guerre française et un objet littéraire non identifié.
Ni l'auteur, ni ses livres, ni ses articles ne ressemblent à aucun autre... Après avoir collaboré notamment au Matin de Paris et au Monde, il écrit maintenant dans Le Nouvel Observateur, chaque semaine, une chronique d'une page où il a toute liberté pour s'exprimer sur les sujets de son choix.
Henri-Hugues Lejeune, mieux que personne, pouvait s'attaquer à ce monument mystérieux et séduisant qui est son plus vieil ami.
Avec lui, il partage, non pas son métier mais la même passion pour la chose littéraire. Il le connaît depuis l'enfance. Ce qui lui permet un premier exercice : raconter la famille, l'environnement, le lycée, la précocité, l'amitié puis la brouille avec Jean-Paul Sartre, l'indéfectible amitié avec Françoise Sagan, ses amours variées (discrètement), ses contradictions, son caractère, son charme. Enfin, en critique érudit et avisé, il se livre à une analyse profonde, subtile, argumentée de chacun des livres de Bernard Frank, comme peu l'ont pratiquée jusqu'ici.
La grande originalité de ce livre bicéphale tient dans la dernière partie qu'on pourrait intituler l' " arroseur arrosé ".
Car le sujet répond à son auteur... Bernard Frank, après la lecture de sa propre biographie prend la plume. Avec beaucoup d'humour, il se livre à un exercice qui consiste à commenter, bien dans sa manière ironique, parfois hors sujet, le travail de son plus vieil ami parlant de lui. Un texte inédit - et donc très attendu - de Frank, qui couronne un livre aussi inhabituel qu'audacieux.
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