"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Je m'appelle Angèle. J'ai treize ans. Ma soeur est morte il y a quatre mois, et je ne crois pas que je puisse m'en remettre. Voilà.
Alors Angèle prend un agenda, et elle écrit. Un agenda, parce qu'il y a un prénom sur chaque page, une nouvelle personne à qui parler chaque jour. Et parce que le temps qui passe finit toujours par faire revenir le soleil.
Un objet singulier pour un principe narratif original Dans son agenda, la narratrice adresse chaque jour son journal au saint du jour, en le prenant parfois à partie, en réagissant à son nom, en créant une réelle interaction avec lui. C'est pourquoi le livre lui-même a la forme d'un agenda, et que le lecteur peut y suivre la narration au jour le jour, y compris les jours où Angèle... n'écrit pas.
Le premier roman d'une autrice à suivre !
L'écriture fine et précise de Marie Le Cuziat est ici au service d'une grande justesse des sentiments qui parlera à tous les ados. Au-delà de l'approche très sensible du deuil, il est fondamentalement question de quête de soi : qui est-on quand on perd ce par quoi l'on se définissait ?
« Un printemps est un roman court et bouleversant qui parle des saisons de la vie. Car après la désolation de l'hiver, c'est la vie qui reprend ses droits. » Page des libraires
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