"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce recueil, le second d'Alexis Bernaut, réunit des poèmes écrits à différents moments au cours des dernières années. Il y a ici des poèmes d'amitié (dédiés au poète américain Sam Hamill, récemment décédé et dont il fut l'ami et le traducteur ou au poète détenu Khaled Miloudi rencontré lors du prix Blaise-Cendrars dont ils furent tous deux lauréats). Il y a aussi parfois des poèmes de colère - inspirés ou non par l'actualité - et d'autres, portant encore la trace de plongées en eaux plus profondes.
Le chien aboie à l'écho de la montagne.
Qu'il lui rende son aboiement - Tu sais, le chien.
Moi aussi j'ai aboyé.
à mes rêves, à mes amis, mes quatre murs.
Et même mes dieux, si j'en avais eu.
Je leur aurais aboyé dessus - J'ai aboyé à la vie.
Dans l'espoir qu'elle me rende.
L'écho de mon premier cri.
J'ai aboyé.
Moi aussi.
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