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Lorsque Jean-Luc Champollion, jeune galeriste de talent et don Juan à ses heures, reçoit la lettre d'une énigmatique correspondante, ce ne sont que les prémices d'un irrésistible jeu de piste amoureux. Que désire cette femme qui distille savamment les indices et tarde à se dévoiler ? Comment la convaincre de tomber le masque ? Jean-Luc devra-t-il aller jusqu'au bout du monde pour la tenir enfin dans ses bras ?
Après l'immense succès du Sourire des femmes, Nicolas Barreau nous offre un savoureux marivaudage contemporain servi par une langue galante et inventive. Un pur moment de bonheur !
Un roman intemporel, presque désuet, délicieux. Isabelle Potel, Figaro Madame.
Envie d'une comédie romantique ? Laissez-vous prendre à ce jeu de piste amoureux. Elsa Margot, Avantages.
ça se lit bien, une petite romance pour l'été, laissez vous tenter! - J'ai adoré le nom du chien et puis suivre l'enquête du personnage principal pour découvrir la messagère secrète! Ce livre met en avant qu'effectivement on ne connait pas si bien les gens autour de nous et puis notre cerveau peut aussi nous jouer quelques vilains tours!
Très bel écrit sur l'état amoureux! Le sentiment et la correspondance mystérieuse en font un livre qu'on ne veut plus quitter.
C’est un roman d’été, un feel-good où on suit les aventures pour une fois d’un homme Jean Luc Champollion, galeriste qui est le destinataire de curieuses lettres d’amour d’une certaine principessa. Lui l’homme à femme, se retrouve désespéré de ne pas savoir qui est celle qui lui envoie ses lettres.
Le principe des lettres est vraiment sympa même s' il est rapidement eclipsé par les tentatives maladroites du personnage principal pour forcer le destin et voir sa belle. Le voilà parti dans une quête parfois assez drôle( la scène de la gare de Lyon notamment) pour découvrir la vérité.
Un roman léger qui se lit facilement, optimiste. Un peu lent au départ, la deuxième partie avec ses réflexions de plus en plus dingues sur l’identité est plus dynamique. J’ai bien aimé le personnage de Soleil, la belle plasticienne mais certains personnages comme Marion sa collaboratrice ou Bruno l’ami raisonnable sont un peu trop caricaturaux à mon goût.
Même si ce n’est pas un coup de cœur, car j’aurai aimé plus de profondeur pour le personnage principal et plus de folie dans les lettres et les situations, il n’est pas désagréable et idéal en cette période pour se détendre au soleil.
A vous de vous faire votre avis sur ce livre et bonne lecture.
Merci merci pour le merveilleux après midi que ce livre m'a fait passé.
J'avais adoré le premier livre déjà mais celui ci est vraiment plus que plaisant. L'amour ou plutôt le sentiment amoureux étudié de long en large avec ses hauts ses bas et toute l'émotion que cela entraine c'est divin...
A lire absolumment
Léger, se lit très bien en vacances. Une jolie histoire d'amour.
Des 3 Barreau que j'ai lu, c'est celui que j'ai le moins apprécié. Mais il se lit facilement tout de même.
Jean Luc, jeune galeriste d'art reçoit un jour une enveloppe bleue dans sa boite aux lettres écrite par une inconnue... Mais qui est ce?
Au fil des pages, il se prend au jeu, des courriers vont s'échanger, le suspense monte afin de découvrir l'identité de cette belle inconnue et peut etre est ce la naissance d'une histoire?
Un roman épistolaire que j'ai trouvé un peu longuet.
Son 1er ouvrage m'avait énormément séduite, le 3è (La vie en Rosalie) est pas mal, et celui là est celui que j'ai le moins aimé..
Autant j'avais trouvé "Le sourire des femmes" agréable à lire, autant je me suis ennuyée au fil des pages de "Tu me trouveras au bout du monde".
Il m'a été impossible de croire à cette histoire et à ses personnages.
Je l'ai quand même lu en entier pour être sûre de la fin que j'avais imaginée et qui se termine comme un téléfilm de noël ... happy end !
Guy de Maupassant affirmait que « La conquête des femmes est la seule aventure exaltante dans la vie d’un homme ». Près d’un siècle et demi plus tard, le romancier a toujours raison. Tout au plus peut aussi affirmer qu’aujourd’hui l’inverse est tout aussi vrai. Encore que dans les jeux de l’amour, on ne sait jamais vraiment qui mène la danse.
Après Le Sourire des femmes (sorti en poche au début de l’année), Nicolas Barreau réussit une nouvelle comédie romantique. Cette fois, ce n’est pas la découverte d’un livre qui sert de prétexte à la quête, mais l’envoi d’un courrier.
Le destinataire est Jean-Luc Champollion, un galeriste parisien porté sur les jolies femmes, qui vit avec son fidèle dalmatien baptisé Cézanne dans le quartier Saint-Germain à Paris. La belle lettre d’amour signée la Principessa qu’il découvre le flatte en même temps qu’il lui rappelle un épisode traumatisant de son enfance. Il avait voulu écrire la plus belle des lettres d’amour à la belle Lucille, dont il était éperdument amoureux et n’avait récolté que moqueries et indifférence. Depuis, il s’était juré de ne plus écrire de lettres. Promesse d’autant plus facile à tenir qu’il n’avait plus ressenti la même exaltation, le même élan amoureux. Est-ce le parfum de mystère véhiculée par ces missives anonymes, est-ce le style très XVIIIe employé par son interlocutrice ? Toujours est-il qu’il se prend au jeu et part à la chasse. A moins, comme dit, que ce ne soit l’inverse. Il lui faut toutefois déchanter assez vite, car même s’il passe tout près de la belle inconnue elle lui échappe. Ce qui ne fait que décupler sa soif de conquête. Comme le lui rappelle très justement un ami professeur de littérature « Elle occupe tes pensées, elle donne des ailes à ton imagination comme nulle autre auparavant, elle rend tout possible…» Bref, il a trouvé sa drogue quotidienne.
Imaginez une seconde être à la place du narrateur. Comme lui vous vous demanderiez sans doute à chaque fois que votre regard croise celui d’une femme, si ce n’est pas cette dernière qui lui écrit. Vous vous amuseriez à faire le tour de vos connaissances présentes et passées. Vous pourriez même imaginer que votre amour de jeunesse se manifeste à nouveau. Avouez que cela donnerait un certain piment à vos promenades et que toutes ces femmes accèderaient soudain à un statut très particulier, celui d’un objet de désir auréolé de magie.
C’est peu dire que l’on suit avec plaisir cette quête amoureuse. On la partage et on dévore le roman pour enfin savoir. Et on ne peut s’empêcher de penser à Maupassant en refermant le livre.
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