80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le présent ouvrage se veut critique sans démagogie et sans sévérité, sans partis pris. L'auteur rend compte des mythes personnels de trois poètes en se fondant sur la critique bachelardienne, sur l'histoire des mythes ou des religions. S'il cite, entre autres, Bachelard, Gilbert Durand, Mircea Eliade, il ne nie pas l'importance de l'intuition et de la sensibilité qui déterminent une perception toute personnelle de la poésie. Evitant tout ethnocentrisme, il souligne ce que la poésie congolaise peut avoir d'original mais aussi ce qu'elle peut avoir d'universel : mythes et archétypes abondent, notamment dans l'oeuvre de Tchicaya. Si la poésie se veut parfois lyrique, elle est avant tout un grand cri d'amour pour le pays natal où, comme le souligne l'auteur, "le lyrisme n'étouffe jamais le cri".
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