80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ces quelques textes ont fait l'objet de rencontres d'associations diverses (étudiants, entr'aide, soirées culturelles en divers lieux de France). Le premier mot de l'auteur est de reconnaissance pour les enseignants de l'École Préparatoire de Saint-Germain-en-Laye, laquelle a permis l'entrée à l'Institut Protestant de Théologie de Paris. Reconnaissance redoublée par l'excellence des enseignements reçus (Paul Ricoeur à l'époque de la Métaphhore vive, Jean Bosc et la découverte de Karl Barth, André Dumas et l'ampleur de l'oeuvre de Dietrich Bonhoeffer (assassiné par les nazis), Henri Michaud et l'ouverture à l'histoire des religions, Pierre Prigent et sa passionnante herméneutique de l'Apocalypse, Frank Michaëli et la langue hébraïque, Georges Casalis et sa présence sur tous les fronts d'oppression (Nicaragua, Conférence de Prague, Algérie, réfugiés...) et rencontres à Prague de Jozef Hromadka, Ludek Bro, Amédéo Molnár.
C'est dire que là où le lecteur trouvera satisfaction, ce ne sera que parcours sur des traces qui appellent à la lecture de bien d'autres ouvrages et l'avancée vers des paysages où se rencontrent la science théologique, la littérature, la poésie, la connaissance de l'Islam et des chemins d'espérance. Tout cela sans prétention comme le suggère cette simple ouverture, redevable de tant de rencontres, lectures, écritures et cheminement dans les parages de langues lointaines.
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