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Tout ce qu'on peut rassemble les poèmes de Pierre Présumey directement liés à la mort volontaire de son fils en janvier 2008. Tous ces poèmes sont des élégies, au sens ancien du mot, c'est à dire des poèmes lyriques marqués par la perte des choses ou des êtres aimés.
Ils donnent une consistance à la désolation de ceux qui restent et offrent une résistance à l'effacement qui menace la mémoire de celui qui est parti.
Conscient des pouvoirs et des limites du langage poétique, l'auteur utilise de multiples formes d'expression : longues narrations nourries de mythologie et de souvenirs intimes, éclats de mémoire brefs et tendus, sonnets aboutis ou défaits, jusqu'à l'épitaphe finale.
Jamais triomphante, renonçant lucidement à l'illusion du tout et à la tentation du rien, cette poésie trouve ses ressources spirituelles et ses images essentielles auprès d'une terre toujours aimée, à « hauteur d'homme ».
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