80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Jessica Soror, âgée de vingt-et-un ans, publie ici son premier recueil de textes, sous le triple signe de l'inévidence du désir, de la dépossession de soi, et de l'altérité absentée - altérité qui fait défaut, et qui déjà en la présence de l'autre est affliction déchirante. Ce n'est cependant pas tant la «promesse» du manque qui provoque la souffrance qu'elle souhaite énoncer, que l'ambivalence qui réside en chaque sentiment, en chaque chose et que l'écriture ou la voix attestent. Ainsi, fort singulièrement, son verbe imagé dit cette angoisse d'être au monde, les faux-semblants de celui-ci et l'horreur ressentie par la sensibilité exacerbée du poète.
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