A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
À l'aube du XVIIIe siècle, les amateurs et collectionneurs perçoivent l'étude de l'art différemment. L'observation et les comparaisons visuelles sont à présent au coeur de leur méthode de travail. Parmi les fervents promoteurs de cette nouvelle vision, le comte de Caylus compose des recueils d'estampes à but didactique. Compilées en un seul ouvrage, les gravures, reproduisant les plus beaux dessins du Cabinet du Roi, donnent alors un cours d'histoire de l'art à leur lecteur.
En 1728, le comte de Caylus offre l'un de ses recueils au miniaturiste genevois Jacques-Antoine Arlaud. Déposé par la Société des arts au Cabinet d'arts graphiques de Genève, cet ouvrage est ici scrupuleusement étudié en fonction de son contexte. L'auteur analyse la culture du regard de cette époque à travers l'exemple concret d'un recueil d'estampes qui répondait aux nouvelles exigences de la société des Lumières.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste