"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ecrit, selon les chapitres, à la première, deuxième ou troisième personne pour mieux impliquer le lecteur,Théorème de l'assassinat conte la vie d'un nabot obsédé par son grand oeuvre : celui de tuer. Tuer n'importe qui : homme, femme, enfant, mais tuer, et surtout égorger sa victime avec le vieux rasoir de coiffeur qui traîne toujours dans sa poche.
Qui l'a conduit à une telle obsession ? Sa mère à laquelle, au cours de son enfance massacrée, il devait prodiguer des cunnilingus ? La bonne, Mathilde, qui lui donnait des lavements juste pour le fun ? Son père qui torturait sa femme avec l'amant de celle-ci au cours de séances sadomasochistes ?
Sa naissance à coups de forceps, son pied-bot, sa petite taille ? La femme aimée qui se moquait de celle de son sexe ?
Le Christ culpabilisant des églises, dans le bas-ventre duquel il s'amuse à planter un couteau « pour le faire bander » ?
Tout cela peut-être, on l'apprendra au cours du livre, mais surtout, le besoin de retrouver ce roi d'un monde déchu, qui, jamais satisfait de la réponse à la question qu'il posait, étranglait ses sujets un à un. Ce roi d'un royaume inconnu que Freud nommait le Moi.
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