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Fille du général le plus titré de l'Empire, Kestrel a eu la faiblesse, alors qu'elle réprouve l'esclavage, d'acheter dans une vente aux enchères un jeune homme du nom d'Arin. Pire encore, elle a eu la bêtise de lui permettre de devenir son ami... et de laisser la ville entière s'en émouvoir. Elle n'a compris qu'au dernier moment son erreur, en découvrant l'impensable : espion aux ordres de son peuple oppressé, les Herranis, le jeune homme était là depuis le début pour la trahir, pour renverser le pouvoir.
À présent, tout a changé. Kestrel a été contrainte de lutter pour sa survie. Elle a vu ses amis tomber autour d'elle et a dû supporter la douleur de la trahison d'Arin - elle dont l'éducation entière lui souffle de tout faire pour se venger. Mais, quand il a fallu choisir son camp, elle a préféré, à son tour, l'impensable : sacrifier son bonheur pour celui des Herranis, céder à un terrible chantage qui la force à tourner le dos à Arin une bonne fois pour toutes. Elle est désormais la fiancée du fils de l'Empereur. S'ouvre, à la cour, un terrible jeu d'échec où Kestrel doit mentir à tout le monde, depuis le monarque - un homme sans pitié qui se délecte de la souffrance d'autrui - jusqu'à Arin lui-même, en passant par la masse des courtisans qui n'espèrent que sa chute.
Gagner sera-t-il pour elle la pire des malédictions ? Jeux de pouvoir, coups de bluff et pièges insidieux : dans un monde nouveau, né de l'imagination d'une auteure unanimement saluée pour son talent, deux jeunes gens que tout oppose se livrent à une partie de poker menteur qui pourrait bien décider de la destinée de tout un peuple !
Cet opus est un tome 2 - Donc c'est avec un immense que j'ai retrouvé les personnages principaux : Kestrel et Arin. Premier tome : je vous rafraichis la mémoire, Kestrel fille d'un général achète un esclave Arin - Ce deuxième tome commence ou Arin est empereur de la contrée d'Erran et Kestrel va se marier - Mais ces deux être vont jouer à un jeu dangereux, lequel seras le plus habile ? Ce deuxième tome est vraiment basé sur l'aventure au sens large du terme, on suit toujours nos protagonistes Kestrel et Arin, mais ils leurs arrivent énormément de choses, ensemble et aussi séparément, le mensonge est de mise, et ils vont les mettre dans de sales draps.
J'aime beaucoup cette saga, ou on parle de territoire, d'affrontements, d'amour et de jeu, dans leur monde, le jeu a une très grande place, ils aiment se défier.
Ce qui intéressant dans ce second volet, c'est que de nouveaux personnages apparaissent, et certains très diaboliques, ce qui donne du cachet a la trame, et surtout énormément de rebondissements.
Bon l'histoire de la relation de Kestrel et Arin est en toile de fond, mais elle est plus complexe, et on se demande si à un moment donné, ils vont se retrouver, tellement ils semblent s'éloigner.
Une chose est sure, en fermant cet opus, on ne peut qu'avoir envie de se jeter sur le tome final, ce qui est mon cas, puisque ma lecture en cours, et celui-là, et je sens que celui-là va être encore mieux.
The Curse a été une de mes plus belles lectures de 2017. Outre sa couverture à tomber et la maison d’édition que j’affectionne tout particulièrement, j’avais fait la connaissance de Kestrel qui réunit à elle seule ce que j’aime le plus dans la littérature. Une héroïne forte, imparfaite, indépendante. Une héroïne à la fois égoïste et empathique, sensible et intraitable. Marie Rutkoski avait réussi le tour de force de m’immerger pleinement dans son histoire, à tel point que je tremblais rien qu’à l’idée de retrouver ses personnages et son univers. Sans parler de sa plume riche, généreuse et élégante. Un coup de cœur indéniable, qui n’a fait que se confirmer avec The Crime, pour mon plus grand bonheur !
À la fin du premier opus, les Herranis, esclaves des Valoriens, s’étaient révoltés pour de bon et revendiquaient leur indépendance. C’est maintenant chose faite grâce à Kestrel qui a passé un accord avec l’Empereur en devenant la promise de son fils. De son côté, bien décidé à protéger les siens, Arin est désormais gouverneur. Si ses fonctions le tiennent relativement éloigné de son ancienne maîtresse, il n’en demeure pas moins qu’elle hante toujours ses pensées. Mais le destin se veut farceur et leur route finit par se recroiser. Comment s’aimer, se pardonner et se comprendre alors que la cour de l’Empereur Valorien est le théâtre des pièges les plus diaboliques ?
Comme j’ai aimé cette suite ! Comme je l’ai aimée ! Après le coup de cœur du premier tome, je n’ai pas boudé mon plaisir avec The Crime, loin de là. L’histoire commence de manière assez calme, de façon à nous remettre dans le bain, mais il est très facile de se laisser emporter par la tension qui règne dans chaque scène.
La pauvre Kestrel subit une pression sociale telle qu’on se demande comment elle fait pour ne pas flancher. Son environnement n’a jamais été aussi hostile, la cour de l’Empereur est comme une grande étendue de sables mouvants sur lesquels notre héroïne cherche perpétuellement son équilibre. La vigilance est de mise, tout ce que Kestrel dit ou fait est analysé, décortiqué et utilisé contre elle afin de la tester et parfois pire : de la piéger. La moindre de ses faiblesses est traquée par l’Empereur.
Le danger est partout. Difficile de déterminer qui sont les ennemis et les personnes bien intentionnées. Kestrel doit composer avec ce petit monde et réussir à sortir son épingle du jeu sans faire de casse, tout en protégeant ceux qu'elle aime.
Tous ces enjeux politiques ne nous laissent pas une minute de répit. Associez ça à l’histoire d’amour avortée de Kestrel et Arin, et vous avez une idée de mon degré de frustration. Ce n’est ni plus ni moins qu’une souffrance de tous les instants. Pourtant, l'alchimie entre eux n’a jamais été plus palpable.J'en ai eu des papillons dans le ventre. Cet amour interdit n'a fait qu'exacerber mon intérêt pour l'histoire.
Actes manqués, quiproquos, erreurs de timing… c’est une frustration constante que nous fait subir Marie Rutkoski. Je n’avais qu’une hâte, qu’un désir : voir Arin et Kestrel enfin réunis. Que les malentendus s’estompent, que le bras de fer se termine, que la vérité éclate. Mais c’est sans compter le sadisme de l’auteur qui ne semble pas décidée à accéder à mes attentes !
L’univers est bien construit, l’intrigue renversante ; mais ce sont les personnages qui donnent tout son cachet à histoire. Et les retrouver m’a fait l’effet de revoir de vieux amis laissés en très mauvaise posture (et c’est peu de le dire !). Dans The Crime, Arin est extrêmement intuitif, bien que trop imprudent par moment. Son tempérament impulsif lui joue parfois des tours et on sert souvent les dents en espérant qu'il passe entre les mailles du filet. Pour ne rien arranger, il commence à douter de tout, à commencer par lui-même. Il n’est plus sûr d’avoir toute sa tête. Pourtant, dès que l'on constate qu'il suit la bonne voie, il finit par faire demi-tour et à abandonner, alors qu'il effleure la vérité du bout des doigts. De quoi s’arracher les cheveux, vraiment…
Kestrel… Kestrel ! D'une sensibilité éblouissante, elle n’a fait que me rappeler à quel point j’aime les héroïnes de sa trempe. Son intelligence n'a fait que me surprendre. Toutefois, elle n'en tire aucun orgueil (contrairement au premier tome) et sa vulnérabilité ne fait que la rendre plus attachante encore. Elle peut aussi bien éveiller la compassion que l'admiration.
Toujours aussi stratège, Kestrel doit mettre à profit des trésors de diplomatie et de ruse pour garder la tête hors de l’eau. Ses actes la mettent en danger et sa vulnérabilité ne rend le récit que plus prenant encore. J’avais la sensation d’être sur une corde tendue au-dessus du vide la majorité du temps. Au moindre faux pas, à la moindre distraction, Kestrel peut basculer.
Le mot déchirement semble avoir été spécialement inventé pour décrire les dernières pages du roman. Rien ne se passe comme on l'espère, chaque scène ne fait qu’ajouter un peu plus à notre frustration. La toile d'araignée qui se forme autour de l'intrigue s'avère plus complexe encore, regorgeant de dangers et d'imprévus. Les nouvelles informations qui viennent conclure The Crime apportent de nouveaux enjeux. Je sens que le tome 3 risque d'être à la fois la cerise sur le gâteau et le bouquet final !
En résumé, The Crime est une suite qui m’a bluffée de toutes les façons possibles et imaginables. Marie Rutkoski tient toutes ses promesses et nous plonge dans une aventure palpitante. Ses personnages sont abîmés et leur relation se construit autour d’une succession de mensonges et d'actes manqués qui ne manquent pas de nous frustrer. Je suis terriblement impatiente de connaître la conclusion de cette incroyable épopée.
Ma chronique : https://april-the-seven.weebly.com/jeunesse---young-adult/the-curse-marie-rutkoski
J'ai beaucoup aimé ce tome. Il y avait moins de romance que dans le premier et beaucoup plus de stratégie/d'action. Je pensais que ça allait me déranger mais pas du tout!
Même si j'avoue que j'aurai aimé plus de moments Kestrel/Arin
On ne comprends pas trop certains points au début. On cherche des liens, mais on ne comprends que vers la fin. L'intrigue est présente! Et l'histoire m'a tenue en haleine.
Un mélange d'émotion m'a parcouru pendant ces 530 pages. Une pure merveille!
Et cette fin m'a juste BRISÉ LE COEUR! Je n'arrivais pas y croire... Je relu les derniers passages au moins trois fois avant de me faire une raison. Comment une telle chose a pu se produire?
Je recommande donc cette saga pour ceux qui ne l'ont pas lu (et puis comment résister à ces couvertures?) et ceux qui n'ont pas encore lu ce tome: "QU'ATTENDEZ-VOUS?"
J'aime bien lire ce genre de littérature ado! C'est bien écrit aussi et l'histoire est bien faite.
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