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J'ai aimé le bleu comme tout le monde. C'est banal d'aimer le bleu, c'est la première idée des faiseurs de chansonnettes, le bleu du ciel, de la mer et de tes yeux, mon amour. Assez ! Je ne peux plus le voir en peinture, le bleu, ni dans le ciel ni dans tes yeux, mon amour. Et d'ailleurs, les yeux de mon amour étaient verts. Avec le rouge baiser des femmes d'avant, je veux du vert, anglais, Empire, tilleul (non, pas tilleul, trop fade), du vert des wagons d'avant et de mes sapins d'ici. Tout, sauf le vert pisseux des écolos, ces zozos. Si, comme le prétend Thierry Séchan, le vert est la couleur du diable, alors je suis le diable. Thierry Séchan aime le bleu, mais il n'est pas un homme banal. On dira même qu'il est singulier dans sa façon de voir les choses, de les dire, de les écrire. Ces Textes verts et textes divers feront grincer des dents. Ils sont murs, pourtant, à point, délectables. Pascal Sevran
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