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Homme d'action, et de désir, Pierre Herbart n'aura laissé qu'une poignée de livres. À cela s'ajoutent quelques textes courts - récits, portraits - ici rassemblés. Les portraits sont ceux des familiers d'Herbart, de Gide à Martin du Gard, restitués en quelques traits, d'une justesse absolue. Les récits, datant des années trente, furent retrouvés il y a une quinzaine d'années. L'obsession de la mort, en l'espèce du suicide ; le goût de l'ivresse ; l'image du corps-défroque, enveloppe inutile dont on s'évade et que l'on surplombe ; l'impossible narration d'un «je» posthume ; l'ensemble des motifs en un mot reliant ces pages elliptiques traduit indubitablement l'influence de l'opium, dont Pierre herbart faisait usage à l'époque, tout en cherchant à s'en détacher.
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