"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Blanc éclatant des tenues, rouge terre ou vert sombre des courts, épure des lignes et des gestes, opéra d'ombre et de lumière... rarement jeu de balle n'aura imposé à ce point son esthétique propre, mais aussi sa dramaturgie, ses codes, ses mythes et ses héros.
Il n'est dès lors pas étonnant que le tennis ait inspiré tant de créateurs, d'artistes, d'écrivains, de cinéastes, qui ont mis leur art au service d'une célébration de ce sport pas comme les autres. Ses objets emblématiques, ses récits épiques, ses lieux de bataille, ses champions historiques, ont nourri un imaginaire riche de rêves et de légendes, créant une véritable mythologie à laquelle nous initie Jean Lovera.
Le tennis considéré comme objet d'art et comme mythologie, tel est donc le projet de ce livre élégant, formidablement servi par une iconographie éclectique illustrant, de Tiepolo à Picasso, en passant par Nabokov, Lartigue, Antonioni ou encore Schönberg, la relation intime et particulière qui réunit en un même univers artistes et grands champions.
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