Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Tatiana Lafumette qui, dans les années 70, fréquentait le café de l'Espoir, habite désormais impasse de l'Avenir. Agenda et mobile toujours à portée de main, elle court d'atelier d'écriture en thérapie, démolit son appartement pour en faire un loft, se commet dans une "flashmob" anticléricale délirante, place sa mère dans une maison de retraite expérimentant le " transgénérationnel citoyen "... Avec les amis de son "réseau" qui pratiquent jalousement l'entre-soi tout en revendiquant le "vivre-ensemble", elle parle une langue versant tantôt dans l'euphémisme rassurant, tantôt dans l'hyperbole guerrière et c'est lorsque ses discours se veulent les plus subversifs qu'ils se révèlent obéir au plus plat conformisme de la transgression autorisée. Elle croise bien sûr d'autres personnages au long de son antiépopée : une centenaire sarcastique, un rouge-gorge virtuose, un sexe qui parle, une mère porteuse roumaine, Azzedine le bon élève captif d'une ZEP, une séropositive au mauvais caractère et bien d'autres...
Ça commence bien, belle écriture, plutôt enlevée et recherchée, de longues phrases bien travaillées, du vocabulaire. Mais ça me fatigue assez vite : pour résumer, j'ai eu l'impression de me retrouver dans un monologue d'une jeune femme qui ne se laisse interrompre par personne : une logorrhée incessante, pas inintéressante certes, mais propice aux migraines. On doit l'écouter coûte que coûte où on s'en va. Ce que j'ai fait.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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