80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Que faire durant ses heures d'insomnie, propices à l'analyse, l'introspection, aux remords et aux regrets, aux espoirs fous et aux rêves déraisonnables ? Que faire, sinon suivre le déroulement d'un écheveau de visions mélancoliques qu'on pourrait croire sorties d'un kaléidoscope halluciné, et convoquer les mots pour traduire celles-ci de manière personnelle, et peut-être même un peu poétique ? Observant sans indulgence sa difficulté à se fondre dans un monde déserté par la délicatesse, l'auteur met en scène, dans des sarabandes hypnotiques et d'un pessimisme lucide, des thèmes indiscutablement romantiques et marqués par un spleen profond : l'Amour, la Femme, l'Homme, la place du Rêve, le Monde visible et invisible, et bien sûr la Mort dont il a pu dire, dans une interview récente à la Monmouthshire Review of Proto-Aristotelian Philosophy, que « la voir comme une fin en soi risquait fort de se révéler amèrement décevant ».
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