"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Chaque fois que nous chantons dans le choeur ou jouons dans l'orchestre, comme lorsque nous pénétrons dans un monument fédérant l'espace urbain, tout notre être s'éprouve soudain d'une façon inédite et multi-dimensionnée. Nous contemplons alors un espace-temps rendu holistique, tout en détaillant les singularités linéaires de mouvements spiralés rythmiques, mélodiques et harmoniques, dont la synergie provoquera, par rebond, notre accession à une dimension d'ouverture, d'écoute et d'être, d'autant plus supérieure qu'y est intimement présente la dimension communautaire.
Ainsi apprenons-nous, par et au sein de l'invariant et du géométrisme qui structurent toute oeuvre d'art, à penser de façon entière et globalisée, à travers un espace mental infiniment élargi - particulièrement à l'altérité, seule apte à rassembler et fonder tout l'ensemble de notre activité à tous les plans, du plus physique au plus conceptuel et de l'idée à sa dimension la plus spirituelle.
Chaque fois que nous chantons dans le chœur ou jouons dans l’orchestre, comme lorsque nous pénétrons dans un monument fédérant l’espace urbain, tout notre être s’éprouve soudain d’une façon inédite et multi-dimensionnée : nous contemplons alors un espace-temps rendu holistique, tout en détaillant les singularités linéaires de mouvements spiralés rythmiques, mélodiques et harmoniques, dont la synergie provoquera, par rebond, notre accession à une dimension d’ouverture, d’écoute et d’être d’autant plus supérieure qu’y est intimement présente la dimension communautaire.
Ainsi apprenons-nous, par et au sein de l’invariant et du géométrisme qui structurent toute œuvre d’art, à penser de façon entière et globalisée, à travers un espace mental infiniment élargi – particulièrement à l’altérité, seule apte à rassembler et fonder tout l’ensemble de notre activité à tous les plans, du plus physique au plus conceptuel et de l’idée à sa dimension la plus spirituelle.
Colette Mourey, née en 1954, professeur à l’Université de Franche-Comté, y aura enseigné la didactique et l’esthétique de la musique ; parallèlement, elle est compositeur, chercheur indépendant en Musicologie, particulièrement autour de l’intelligence musicale et du son mental, et inventrice d’un nouveau système musical, l’« hypertonalité ».
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