80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Suite au décès de son épouse, Kôhei Inuzaka s'occupe seul de sa fille Tsumugi. Nul en cuisine et n'ayant lui-même que peu d'appétit, il la nourrit principalement de plats préparés industriels tandis qu'il court entre son travail et les tâches ménagères. Jusqu'au jour où la fillette évoque la cuisine de sa mère... Ni une ni deux, Kôhei l'emmène au restaurant... et par un concours de circonstances qui les amènera à rencontrer la jeune Kotori, père et fille trouveront bien des raisons de privilégier petits plats faits maison et repas conviviaux.
J’ai adoré l’anime Amaama to Inazuma adapté du manga. Autant dire que quand j’ai vu la traduction du manga Sweetness & Lightning et en plus à petit prix, j’ai foncé. Niveau édition, je suis agréablement surprise par le rapport qualité/prix. Soit il n’y a pas de jaquette mais grâce aux rabats les bonus cachés par les jaquettes sont présents. Le papier intérieur est plutôt bon. C’est l’histoire d’un papa veuf et prof qui élève sa fille comme il peut. C’est sa femme qui cuisinait et y mettait tout son corps. Il veut pouvoir prouver à sa fille son amour en passant par l'apprentissage de la cuisine et le partage de repas. Le hasard met sur leur route une étudiante dont la mère toujours absente tient un restaurant. Ce trio improbable va apprendre à cuisiner, va chercher à retrouver leur joie de vivre et surtout à faire plaisir. C’est aussi doux et choupinoux que l'anime. C’est le genre de petit tranche de vie qui fait du bien où l’on se concentre sur les bons sentiments. Hâte d’avoir la suite.
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