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Ce court livre de Stefano Busellato invente quasiment un genre, que l'on pourrait qualifier de « philosophie poétique ». Une suite de textes en prose décrit des scènes, d'apparences anodines, mais interrogeant avec pertinence nos fondamentaux sur la réalité, la perception, la mémoire, le temps... Sa langue, à la fois concise et elliptique, participe à l'étrangeté de ces petites fictions paradoxales et mystérieuses.
Cette traduction nous est parvenue par Christophe Mileschi, traducteur de grands noms de la littérature italienne comme Italo Calvino, Pier Paolo Pasolini, et tout récemment Elena Ferrante. L'intérêt littéraire évident du projet l'a poussé à nous le proposer - avec raison, tant nous avons été séduits par sa profondeur et la beauté de la langue. Avec cette particularité : son auteur, Stefano Busellato n'a jusqu'ici pas fait paraître le texte dans sa version italienne. Cette traduction tiendra donc lieu d'édition originale. Aussi nous espérons qu'elle jouera le rôle de déclencheur dans le monde littéraire italien.
A la croisée entre poésie et philosophie, cet opus trouve une place toute tracée au sein de notre catalogue, aux côtés Des Choses merveilleuses d'Adolfo Bioy Casares ou encore du Martin Fiero de Jorge Luis Borges.
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