Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Suffirait-il d'aller gifler Jean d'Ormesson pour arranger un peu la gueule de la littérature française?

Couverture du livre « Suffirait-il d'aller gifler Jean d'Ormesson pour arranger un peu la gueule de la littérature française? » de Romaric Sangars aux éditions Pierre-guillaume De Roux
Résumé:

«Car qu'incarne Jean d'Ormesson ? Tout compte fait presque rien. Ce qu'il a produit n'est qu'un incessant bavardage dénué du moindre style mais glaviotant avec gourmandise une érudition de surface n'ayant d'autre effet que de se donner un air philosophe et charmant à l'heure du thé, entouré de... Voir plus

«Car qu'incarne Jean d'Ormesson ? Tout compte fait presque rien. Ce qu'il a produit n'est qu'un incessant bavardage dénué du moindre style mais glaviotant avec gourmandise une érudition de surface n'ayant d'autre effet que de se donner un air philosophe et charmant à l'heure du thé, entouré de trois vieilles filles du centre droit, sans s'apercevoir, ravi de gloussements divers, qu'à l'extérieur : le monde s'écroule.
[...] Dès qu'il est question de gouffre ou de points fondamentaux, Jean d'Ô s'éclipse, sceptique, avec un sourire poli, et s'en va prendre le thé ailleurs. S'il s'agissait d'insouciance...» Non, nous ne vieillirons pas avec Jean d'Ormesson, la fausse valeur que l'on nous fait gober sans peur sous les jupons dorés de «La Pléiade». Non, nous n'irons plus au bois : les lauriers sont truqués. Un salutaire acte d'impertinence signé Romaric Sangars, journaliste et critique littéraire, cofondateur du Cercle Cosaque.

Donner votre avis