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Dans la légende, oedipe conchie le Sphinx au nom de son propre intérêt ; cette erreur symbolise sa cécité et sa bêtise. Sommes-nous aveugles à notre propre péril faute d'examiner ce que figure le Sphinx? Sommes-nous nos propres bourreaux, nos propres monstres, face à notre fin?
La facilité avec laquelle l'humanisation et la subjectivité disparaissent n'a d'égal que l'oubli du temps premier de la réflexion. Entre réflexes et réflexions, les mésaventures de l'être humain ont commencé au stade anal, au moment de la maîtrise de ses sphincters.
Comment en parler pour que chacun puisse y reconnaître ce qui lui est « propre »?
Comment retrouver un temps de vie où la place serait réservée à un acte de création et de réflexion pour soi-même? Avons-nous perdu de vue cette idée et les conséquences néfastes de cette absence?
Le Sphinx n'est-il pas alors la figure emblématique et nécessaire d'une renaissance à travers la création, faite de constructions et de reconstructions, pour éviter une chute progressive vers la bestialité?
Ce nouvel essai autour de la création prolonge les deux premiers de Bernard Wagner, psychologue clinicien, arthérapeute et psychanalyste : Le violon d'Astrid et Le triangle obscur, issus de son travail en milieu psychiatrique et de son expérience d'animation d'ateliers de création thérapeutique.
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