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Trois portraits de femmes appartenant à la grande bourgeoisie richissime d'un émirat arabe du Golfe. Les trois histoires tournent autour du mariage, toujours arrangé, négocié à coups de bijoux mirobolants. Souvent, cela commence sur le ton d'une comédie pour finir dans la tragédie. Hassa écume toutes les fêtes dans l'espoir d'entendre parler d'une jeune fille à marier pour son fils. Elle assiste à un mariage d'un faste délirant, où sont conviées quatre mille femmes dans une sorte de décor arabo-hollywoodien. Là, Hassa trouve la perle qu'elle cherche, une jeune fille que sa famille garde dans l'ombre et qui se révèle être une obèse laideronne. Ocha, au contraire de sa cousine Hassa, est presque une femme libérée. Elle a obtenu le droit d'exercer un métier, celui d'expert en pierres précieuses. A ce titre, elle parcourt les ventes en Europe et s'isole dans des salons pour contempler une émeraude, un diamant. Malgré la paix que lui apportent les pierres, des bouffées de sensualité la torturent, qui entrent en contradiction violente avec sa foi
musulmane. Quant à Maïtha, elle aussi semble chanceuse. Elle suit des études commerciales au Liban. Un garçon glisse son numéro de portable dans son sac. Cela déclenche en elle un séisme intérieur, dont elle confie le secret à une amie qui l'ébruite, provoquant une succession de malheurs.
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