Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Simple journée d'été

Couverture du livre « Simple journée d'été » de Frederic Berthet aux éditions Denoel
  • Date de parution :
  • Editeur : Denoel
  • EAN : 9782207259184
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Voilà c'est tout simple : les personnages ont entre dix-huit, dix-neuf et vingt-trois, vingt-quatre ans.
Paysage: la France de la fin des années 70. Fille, campagne ombragée et bords de mer. Ils vont dîner, ils tombent amoureux, ils font de la métaphysique et sont abominablement normaux.... Voir plus

Voilà c'est tout simple : les personnages ont entre dix-huit, dix-neuf et vingt-trois, vingt-quatre ans.
Paysage: la France de la fin des années 70. Fille, campagne ombragée et bords de mer. Ils vont dîner, ils tombent amoureux, ils font de la métaphysique et sont abominablement normaux. A-bo-mi-na-ble-ment, scanda Charles levant un doigt. - Et alors ? - Et alors, tout le tralala. Bref, ils font connaissance avec cet asile de fous qui inclut toutes les terres habitées situées à plus de dix kilomètres de leurs berceaux.
Compris, ma grande ? Véro le regarda avec inquiétude. - Et tu as fait ça tout seul, toutes ces histories ? - Mmh. - Tu dois être crevé ? - Je suis épuisé. Agonisant. Positivement mourant. Et la nuit vient à peine de tomber. Ils frissonnèrent.

Donner votre avis

Avis (1)

  • Beaucoup de verbiages et peu d’esprit. Quel ennui ! J’ai commis deux erreurs. La première est d’avoir fait confiance à la Fnac, la deuxième d’avoir cru à un roman beau comme La côte sauvage de Jean-René Huguenin… Imaginez du Frédéric Beigbeder ou du Nicolas Rey sans humour ni second degré. Ces...
    Voir plus

    Beaucoup de verbiages et peu d’esprit. Quel ennui ! J’ai commis deux erreurs. La première est d’avoir fait confiance à la Fnac, la deuxième d’avoir cru à un roman beau comme La côte sauvage de Jean-René Huguenin… Imaginez du Frédéric Beigbeder ou du Nicolas Rey sans humour ni second degré. Ces deux écrivains sont insupportables mais leur style et leur personnalité parviennent quelquefois à les sauver. Qu’on m’explique ce que ce Berthet a de génial ! Peut-être qu’au bout de cinq verres de Vermouth, quand le taux d’alcoolémie a noyé toute étincelle de lucidité, on lui trouve un intérêt. C’est compliqué de résumer le vide de ces histoires. Des mondanités, des leçons de savoir-vivre dignes de la Baronne de Rothschild (ex : l’insupportable « traité d’illégitime défense »), des faux quiproquos, des aphorismes prétentieux, des dandys miteux qui vous expliquent en quoi Lanvin est vain (on s’en fout), des jeunes gens de la « bonne » société qui se courent après dans le but ultime - ô mais que c’est original - de forniquer dans la soie. Seule fantaisie, dans la première nouvelle, l’auteur nomme ses personnages par leur métonymie. Grosses-Joues et Cravate-Club sont des noms plus divertissants que Jean-Édouard et Louis-Marie. Si les protagonistes avaient parlé anglais, s’ils avaient évolué à Oxford ou à New York, la banalité de ces nouvelles aurait été emportée par le charme de la langue. Mais là, ça m’a fait le même effet qu’un tube anglo-saxon traduit en français. Une purge, l’impression d’un truc qui cloche, qui n’est pas à sa place. Sa place, ce sera rangé au fond de la bibliothèque, derrière une rangée de livres plus consistants.
    Bilan :

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)

Donnez votre avis sur ce livre

Pour donner votre avis vous devez vous identifier, ou vous inscrire si vous n'avez pas encore de compte.