"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En février 1842, la romancière anglaise, Charlotte Brontë, arrive au Pensionnat Héger, à Bruxelles. Elle a vingt-cinq ans. Elle veut perfectionner son français. Elle y tombe passionnément amoureuse du mari de la directrice.
Quand Elizabeth Gaskell accepte d'écrire la biographie de Charlotte en 1856, soit un an après la mort de l'écrivain, elle pressent l'importance de ce séjour. Elle vient à Bruxelles dans l'espoir de visiter l'école et de rencontrer la famille Héger. L'annonce de son arrivée plonge le pensionnat dans l'émoi...
Si j'avais des ailes entraîne alors le lecteur dans la vie quotidienne des Bruxellois du XIXe siècle : la savoureuse servante Manke Née, le trouble Monsieur Héger, propriétaire du pensionnat, la cuisinière râleuse, Scheile Leentje et bien d'autres encore. Bruxelles est alors en plein essor : Le chemin de fer se développe, la capitale belge attire par la qualité de ses concerts, de ses expositions et vibre au rythme des bals populaires, les préparatifs vont bon train pour de grandioses festivités en l'honneur des vingt-cinq ans de règne du premier souverain.
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