80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Si belles en ce mouroir Alexandrine Dumas, quatre-vingt-cinq ans, est en convalescence dans un Ehpad où elle s'est liée d'amitié avec Marie-Thérèse, malicieuse centenaire qui rêve de revoir le marronnier majestueux qui faisait la gloire de son jardin, et Gisèle, une vieille fille de quatre-vingts ans insupportable d'indiscrétion qui pleure encore et toujours la mort de son chien. Galvanisées par un remake noir de La Belle au bois dormant qu'Alexandrine écrit jour après jour dans un cahier d'écolier, les vieilles dames fomentent des idées de vengeance. Projets de meurtres et souvenirs accompagnent les promenades, les repas infects et les parties de scrabble. Conjuguant récit à énigmes et satire sociale avec un humour irrésistible, Marie Laborde décrit les aléas du grand âge à travers ses héroïnes autour desquelles gravitent personnel médical et vieux Casanova lubriques. On rit, la larme à l'oeil.
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