"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La genèse de ce livre est contenue dans cette «scène primitive» que l'auteur a réellement vécue$: une biche tuée qui perd son sang dans un bassin au-dessus duquel se penche une haute silhouette d'homme, tandis que l'enfant apeuré sanglote.A partir de là, l'auteur va rêver une suite, laquelle contiendra bien sûr divers éléments puisés dans sa vie mais aussi dans le temps de la guerre avec ses lendemains et l'image toujours quêtée, toujours fuyante du corps du père. Les promenades avec l'homme de chasse sont tissées de ces choses. Les nouvelles du triptyque, apparemment éloignées de la première partie, suivent pourtant le même fil rouge: la symbolique du corps paternel si transposé qu'il soit. Peut-être le perçoit-on dans le géniteur de l'enfant blond, ou dans l'imposante figure nourricière de celui qui, chaque lundi, doit accomplir ce qu'il nomme «le rouge travail».
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