La petite famille De Flôret s'est agrandie. Jean décide alors, de devenir propriétaire, il veut offrir à sa femme Jeanne et à sa fille Marie une maison plus grande avec un grand jardin. Il a une préférence pour la belle région du gévaudan, dans un village paisible. C'est ici qu'ils découvrent la maison de leur rêve.
C'est une belle journée d'automne, le soleil brille dans un ciel bleu. Une légère brise frissonne les feuilles jaunes des arbres, et une bonne odeur les enivre.
La belle demeure est au fond du parc, exposée plein sud. C'est une belle et grande maison, avec sa façade grise et triste, ornée de huit grandes et hautes fenêtres.
Les larges marches d'escalier de la terrasse ne semblent jamais en finir. Pourtant, elles les emmènent devant cette large porte de bois, usée et foncée par le temps.
Ils ne savent pas encore, que derrière cette porte, il y a pour cette petite famille, le début d'une triste destinée.
Ils ne seront pas les seuls à habiter ici. Ils en auront des preuves par des événements étranges, mais pas méchants du tout.
Enfin, tout au moins au début.
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