"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Quand on aime la vie, on aime le cinéma. Martin Miller n'aime pas sa vie. Terne. Médiocre. Chiante. Mais il aime le cinéma. En couleurs. Sexuel. Alors il passe vraiment de l'autre côté de l'écran pour s'offrir des orgasmes terribles avec les plus grandes stars du cinéma mondial, Sophia Loren, Elisabeth Taylor, Brigitte Bardot et les figurantes anonymes des films porno. » (Texte de la 4e de couverture de la première édition.) En 1968, Barry N. Malzberg, un jeune écrivain américain débutant, rencontre Maurice Girodias. Ce dernier s'est fait connaître comme l'éditeur d'auteurs (James Joyce, Vladimir Nabokov, Henry Miller) interdits en raison du caractère « indécent » de certains de leurs ouvrages.
Condamné à de lourdes amendes par les tribunaux, Girodias profite de la libéralisation de la législation pour créer une maison d'édition vouée exclusivement à la publication de romans pornographiques : Olympia Press. Dénicheur de talents, il propose un à-valoir de 2 000$ (environ 3 000 ) à Barry Malzberg, lequel rédige en 15 jours ce roman inclassable.
Le personnage principal est un jeune cinéphile obsédé par les actrices de cinéma les plus sexy, et qui possède l'étrange pouvoir de se projeter dans les films pour vivre avec elles des amours torrides. Traduit et publié en France dans une maison d'édition clandestine, il est réédité au Sagittaire en 1975 sous le titre : Crève l'écran !.
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