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Sarah, 30 ans, mon cancer, même pas peur !

Couverture du livre « Sarah, 30 ans, mon cancer, même pas peur ! » de Sarah Pebereau aux éditions Michel De Maule
Résumé:

J'ai 30 ans, je connais les peines de coeur, je sais pleurer la perte d'un être cher, j'ai été confrontée aux doutes sur l'avenir professionnel, aux changements de cap. Mais il y a des tempêtes auxquelles on n'est pas préparé. Le cancer, je ne l'ai pas vu arriver. Ce livre c'est un peu mon livre... Voir plus

J'ai 30 ans, je connais les peines de coeur, je sais pleurer la perte d'un être cher, j'ai été confrontée aux doutes sur l'avenir professionnel, aux changements de cap. Mais il y a des tempêtes auxquelles on n'est pas préparé. Le cancer, je ne l'ai pas vu arriver. Ce livre c'est un peu mon livre de bord illustré que j'ai tenu avec l'humour qui m'a accompagnée à chaque étape jusqu'à répéter une chorégraphie de pom pom girl dans l'ascenseur avec C.A.N.C.E.R en me rendant à mes séances de rayon. Cet humour m'a permis de faire face à la peur, aux réactions maladroites de certains com­parant la maladie à une simple grippe et aux médecins pas toujours très psychologues : Dr A. (à ma mère) : « Alors vous ne vous attendiez pas à ce que votre fille ait un cancer ?! » Moi (dans ma tête) : « Non mais elle ne s'attendait surtout pas à ce que vous fassiez une sortie pareille ! Du coup, ça fait 2 surprises !» Je raconte aussi le soutien essentiel de mes proches à travers des moments parta­gés, de jolies attentions et de multiples SMS, hug virtuels de notre génération, qui réchauffent le coeur. J'aimerais qu'il puisse servir de kit de survie aux malades, actuels et passés, et à leurs proches. Je l'envisage comme un passage de relais pour que mon histoire en aide d'autres. « En lisant ces lignes, on rit et on pleure en même temps ; au-delà des émotions que toute lecture apporte, il faut applaudir le courage de cette jeune femme qui permet de prendre conscience de ce que les gens cherchent généralement soigneusement à éviter : la réalité et la violence du quotidien d'un malade du cancer. » Jacques Raynaud (Fondation ARC pour la recherche sur le cancer).

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