80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Influencés par le sadisme de certains films, de jeunes barbares torturent et violent la femme d'un comédien.
Fou de douleur, Thomas décide de venger sa compagne en choisissant pour cible ceux qu'il juge responsables de son désastre : les pontes d'un système audiovisuel banalisant toutes les formes de violence au nom de l'Audimat. Thomas va donc s'employer à massacrer producteur, réalisateur ou star de l'image, en reproduisant les meurtres tels qu'il les voit à l'écran. Ce serial killer déclenche la panique dans le petit monde de l'audiovisuel : cupide et lâche, ce monde-là s'épouvante des crimes abominables du monstre, sans voir que la monstruosité de Thomas n'est qu'un miroir de la leur.
Et ceux qui paniquent d'être les prochains sur la liste, sont les mêmes qui nourrissent les peurs par le biais des écrans. Thomas finit par confondre virtuel et réel, restant dans sa folie moins fautif que ses victimes : lui plonge sans passion les mains dans leur sang ; alors qu'eux, vrais prédateurs, profitent du sang qu'ils répandent pour conforter leur pouvoir.
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