Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
« Je ne l'appellerai pas par son prénom, ni par son nom, je ne le prononcerai même pas. C'est inutile. Je donnerai son surnom, Zillia. Ça suffit pour pouvoir nommer quelqu'un un surnom, ça suffit pour donner une identité mais aussi pour laisser ouverte toute une part de possible, de mystère et de vie privée, même si aujourd'hui, c'est mal vu. Il faut être dans la transparence. Si ça continue, les façades des maisons seront vitrées, l'homme sera visible jusqu'au travers des couvercles des tombeaux. » Un après-midi de septembre, de retour de Rome où elle vient de terminer un reportage publicitaire, la narratrice croit reconnaître, dans une rue derrière Montparnasse, Zillia, une amie disparue. A partir de ce jour, le souvenir de cette jeune femme, trépidante et fantasque l'obsède jusqu'à la pousser à en écrire l'histoire, jour après jour, au point de se dissoudre dans son passé.
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