"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Après avoir été acquitté d'un triple meurtre à l'issue d'un procès qui passionna les Français dans les années 1940, Henri Girard dilapida l'héritage familial et, pour échapper à ses créanciers, s'embarqua en 1947 pour l'Amérique du Sud. Pendant trois ans, il bourlingua, multiplia les métiers, de chercheur d'or à barman en passant par chauffeur de taxi ou camionneur. Il revint en France en 1950, toujours sans le sou, mais riche d'une expérience irremplaçable qui lui permit d'écrire, sous le pseudonyme de Georges Arnaud, trois romans directement inspirés de ces années aventureuses.
C'est sous le titre de Romans américains que nous réunissons ces trois ouvrages : Le Salaire de la peur (1950), Le Voyage du mauvais larron (1951) et La Plus Grande Pente (1961). Trois romans denses, durs, abrupts, qui témoignent à la fois de l'intégrité morale d'un homme à la personnalité rare et de la terrible lucidité d'un romancier singulier qui marqua les esprits de son époque.
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