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« En définitive ce n'est pas la poésie qui doit être libre, c'est le poète. » C'est en 1943, en conclusion du recueil État de veille, publié en nombre restreint dans la collection « Pour mes amis » chez Robert J. Godet, que Robert Desnos lance cette revendication de liberté pour le poète, en écho à une autre déclaration à propos de Corps et biens, en 1930, qui porte alors l'accent sur la liberté de la poésie : « Libérée de toutes les règles, de toutes les contraintes, la poésie de Robert Desnos est à l'image de sa vie, autant que la vie et la poésie puissent être libres. » L'appel à la liberté reste le même, mais en 1943 dans Paris occupé, il prend une urgence vitale que le poète résistant soutient de son action. Au péril de sa vie, il le sait bien, comme le laisse entendre « L'Épitaphe », poème de Contrée.
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