"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Carole Landry, une romancière de polars (habituellement publiée sous le pseudonyme de Viviane Larose), nous raconte trois meurtres (réels, cette fois), depuis la prison où elle incarcérée.
Rira bien qui rira le dernier est constitué de trois volets et d'un épilogue. Chacun des volets est consacré à un homme assassiné, tous d'anciens amoureux de Carole. À la toute fin du roman, le lecteur comprend que l'auteur a en fait voulu nous faire croire à une histoire vraie : les trois hommes qu'elle a aimés (de qui elle s'est inspirée pour écrire son roman) ont tous les trois été retrouvés morts, dans des circonstances similaires à celles décrites dans son livre. Carole Landry se retrouve donc en prison pour des meurtres qu'elle avait imaginés, mais qu'elle n'a pas commis.
Rira bien qui rira le dernier... Avoir su, elle aurait choisi un autre titre!
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