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Une poésie petite et toujours balbutiante ; un paysage cherchant son peintre. Ce qui fut d'abord publié sur le web, dans l'immédiateté de l'expérience vécue, avec ses hachures, ses plages de silence et ses ouragans, se trouve ici sédimenté, constitué en unité.
Une petite poésie, oui, comme chacun en porte une, et qui ne fait pas oeuvre mais seulement texte. Et ce texte se brise contre la parole, réitérant l'affront d'essayer toujours de dire, ce qui se refuse. On ne s'étonnera pas, alors, des voies sans issue auxquelles par endroits, le texte donne la voix, revenant toujours à sa matière verbale, l'épurant peu à peu, inventant lentement sa langue. Souvent noire, comme la mer la nuit.
En lignée d'une tradition vieille comme le chant, J. Ailesbée voudrait écrire le tremblement de vivre en homme, c'est-à-dire la perpétuelle absence, encore sauvage, dominante, qui, de la vallée à la marée, du ruisseau au papillon cherche un domaine où s'incarner.
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