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À 40 ans, Elsa est une historienne et biographe réputée. Quand elle propose à son éditeur d'écrire la vie de Vera Miller, une comédienne qui a marqué plusieurs générations et continue à enchaîner les rôles, celui-ci trouve l'idée excellente bien qu'étonnante venant d'une universitaire dont tous les écrits portent sur le XVIe siècle. Ce qu'il ne sait pas, ce que personne ne sait, c'est que Vera Miller n'est pas n'importe qui pour Elsa. C'est sa mère. Une mère qui ne l'a pas élevée, qu'elle n'a vue qu'une fois par an jusqu'à sa dixième année, et dont elle n'a eu des nouvelles qu'à travers la presse...
Si Agathe Colombier Hochberg est un auteur de comédies à succès, c'est parce qu'elle sait voir et dire les relations entre les êtres. Elle le montre plus que jamais aujourd'hui en peignant avec justesse et pudeur deux magnifiques portraits de femmes. D'un côté celle qui a fait le choix de ne pas être la mère de son enfant, et de l'autre, celle qui est condamnée à vivre dans l'ombre de la femme qui ne lui donna qu'une chose : la vie.
Dialogues pauvres, écriture fade alors que le sujet, l'abandon d'une mère, est un sujet si fort ! Quel gachis. Le personnage principal est affublé d'une gamine détestable et d' un père odieux qu'on ne voudrait sûrement pas rencontrer. Au fil du roman, qui peut plaire aux amateurs de "collection Arlequin", on se prend à comprendre la mère qui a abandonné tout ce petit monde mesquin.
Pas du tout, mais alors pas du tout aimé.
L'histoire est sans doute touchante, mais écrite dans une langue et un style tellement plats avec des métaphores et figures de style à l'emporte-pièce.... que le bouquin m'est tombé des mains. Par acquis de conscience, j'ai lu les 5 derniers chapitres pour vérifier que ce n'était pas que le démarrage (qui était mièvre) et là patatras, on aplatit encore un peu plus encore ce qui aurait pu être une belle histoire. Un bouquin sans doute agréable sur la plage sans y penser et qu'on oublie aussitôt refermé, donc pas tout à fait ce que je cherche dans un livre.
Une agréable surprise !
Honnêtement, avec le texte de la quatrième couverture, je m'attendais à un flot de mièvrerie et de bons sentiments. Faux !
L'histoire est assez originale: une brillante universitaire se met à écrire la vie d'une grande comédienne. Bizarre? Non, car c'est sa mère, qui l'a abandonnée petite et dont elle n'a plus de nouvelles depuis ses dix ans.
C'est un roman très intelligent qui se lit facilement, c'est fluide, les mots sont simples, il n'y a pas un désir chez l'auteur de faire des grandes phrases bien complexes, c'est bien là tout ce que je demande à un livre. En plus, une perspective intéressante sur la vie des immigrés russes à Paris dans les années 20. C'est sympa!
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