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Passe Murailles, le retour. Même esprit, même ouverture, mêmes ambitions : croiser, décroiser, combiner, apparier, tramer, jointoyer, imbriquer Pyrénées et autres massifs, escalade et marche à pied, verticalité et circularité, philosophie et poésie, récit et photographie, espaces et intériorité. Au centre de ce numéro 2, un thème qui, par nature, se dérobe : le vide.
Qu'en pensent le montagnard longeant la crête, le marcheur sur la vire, le grimpeur dans sa voie ? Là où le vide peut prendre le nom de vertige, d'effondrement, de fin. Écoutons Ludwig Hohl (Notes) :
« Où est l'abîme ? Il est en chaque pas qui s'écarte de la justesse. » En écho à cette acuité, au danger de la chute, appariant les évidures de l'infiniment grand et de l'infiniment petit, James Salter (L'Homme des hautes solitudes) écrit : « C'était comme s'il touchait non pas une paroi rocheuse mais quelque chose qui avait des dimensions planétaires, dont l'immensité dépassait l'imagination et qui, en même temps, était mystérieusement conscient de sa présence. »
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