80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Pour son deuxième numéro, la Revue du crieur maintient son cap en accueillant, à nouveau, de grandes plumes du journalisme et de la pensée critique contemporaine, des enquêtes intellectuelles au long cours mais aussi des regards incisifs sur la vie internationale des idées et de la culture.
Pour son deuxième numéro, la Revue du crieur maintient son cap en accueillant, à nouveau, de grandes plumes du journalisme et de la pensée critique contemporaine (Joseph Confavreux, François Cusset, Laura Raim et Claire Richard), des enquêtes intellectuelles au long cours mais aussi des regards incisifs sur la vie internationale des idées et de la culture (la science-fiction africaine, la chanson pop arabe, les influences intellectuelles de Podemos...) et le portrait sans concession d'une institution très particulière qui continue de jouer un rôle de premier plan dans la politique " culturelle " de la France à l'étranger, la Villa Médicis...
Au sommaire de ce numéro 2, Joseph Confavreux et Marine Turchi, Aux sources de la nouvelle pensée unique - Michaël Moreau, À quoi sert la villa Médicis ? - Nicolas Chevassus-au-Louis, Pourquoi Badiou est partout - Oulimata Gueye, La science-fiction africaine, laboratoire d'un autre futur - Laura Raim, Le krach de la pensée économique - Kiluanji Kia Henda, Icarus 13 - Ludovic Lamant, La boîte à idées de Podemos - Zoé Carle, Les étranges métamorphoses de la chanson arabe - Philippe Bihouix, Les technosciences, ou l'utopie corrompue - François Cusset, Les nouvelles logiques de la révolte - Claire Richard, Penser internet.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année