Jean Nallit entre très tôt dans les mouvements de Résistance à Lyon. En charge de la liaison et de la mise à disposition de faux papiers, il fait réaliser de nombreuses fausses cartes d'identité permettant à des résistants et à des Juifs d'échapper aux traques nazies. Arrêté en 1944 par la Gestapo, il est envoyé dans l'enfer de Buchenwald. Après de long mois en camp de concentration, il participe aux « marches de la mort ». Il est libéré en 1945 par l'armée américaine. Dans ce livre témoignage, Jean Nallit raconte « sa vie toute simple » comme il aime à le rappeler.
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